L’Algérie intéresse de plus en plus sur le plan international et enchaine les accords bilatéraux avec de très nombreux pays.
Alors que la France reste arcboutée sur une posture de petit garçon boudeur, qui rechigne toujours à voir l’Algérie comme un véritable partenaire, récemment, ce sont les Pays-Bas qui ont désiré renforcer leur partenariat avec l’Algérie.
Les Pays-Bas et l’Algérie collaborent depuis plusieurs années dans les domaines de l’agroalimentaire et des énergies renouvelables.
Les deux pays mettent en commun chercheurs et ressources au travers du CDER, le centre de développement des énergies renouvelables situé à Alger.
Suite à une rencontre le 17 novembre dernier entre le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Abdelbaki Benziane, et l'ambassadrice des Pays-Bas en Algérie, Mme Janna Van Der Velde, une nouvelle coopération va voir le jour dans les domaines de la formation et de la recherche universitaire.
Cet accord permettra de "faciliter le contact entre les enseignants chercheurs des deux pays, d’élargir la coopération bilatérale par la signature d’accord et de programmes de jumelage et de partenariat entre les universités des deux pays à travers les programmes de l’Union européenne, tout en échangeant les visites pour mieux connaitre les atouts dont disposent les universités algériennes et hollandaises", s’est réjouie Mme Van Der Velde.
Le communiqué ministériel algérien indiquait également que 'Lors de cette rencontre, les deux parties ont évalué les relations bilatérales en la matière, estimant qu’elles demeurent en deçà des attentes vu les capacités scientifiques, académique, matérielles et humaines des universités des deux pays, susceptible de donner lieu à des relations fructueuses', plaçant donc les deux acteurs sur un pied d’égalité dans ces domaines si importants.
La force de l’Algérie, c’est sa jeunesse!
La jeunesse algérienne est particulièrement motivée pour bâtir un pays sur une base d’excellence dans de très nombreux domaines de compétences et cet accord démontre un fois encore l’intérêt qu’ont les pays étrangers pour les futurs projets prometteurs de l’Algérie, auxquels ils entendent participer !