Espérons tout d’abord que vous avez l’estomac solide. Car les lignes qui vont suivre vont sans nul doute vous donner la nausée.
Chaque année des millions de chiens et de chats sont massacrés en Asie! Dans les doux pays que sont le Vietnam, la Thaïlande, la Chine, quelques 30 000 chiens sont tués tous les mois. Oui, oui, ils sont entassés dans de minuscules cages insalubres où il leur est pratiquement impossible de bouger. Et après? Ils sont mangés: car selon les croyances de ceux qui consomment leur viande, tous les animaux terrorisés, martyrisés et battus violemment avant leur mort, produisent une montée d'adrénaline qui rend leur viande plus juteuse, plus tendre et aphrodisiaque!
Nos pauvres animaux de compagnie sont placés à plusieurs dans des sacs de jute et frappés violemment contre terre avant d'être écorchés encore vivants et bouillis.
En Corée du Sud par exemple, dans le domaine alimentaire, les chats sont vendus vivants, pattes liées, sur les marchés locaux et aux différents restaurateurs. Pour enlever leur fourrure rapidement, ils sont jetés vivants dans des casseroles d'eau.
On retrouve ces sachets de "chats liquides" dans presque tous les magasins d'alimentation de la Corée du Sud et on vante ses vertus anti-rhumatismes. Toujours en Corée du Sud, on sert dans plusieurs restaurants, des côtes de chiens aux graines de sésame ou des tranches de pénis de chiens, renommés pour leurs vertus aphrodisiaques.
Les chiens, durant leur détention misérable, ont eu les tympans perforés par certains éleveurs afin qu'ils n'aboient pas! Ils sont pendus et agonisent par une lente strangulation, battus à coup de masse, écorchés vivants, brûlés vifs sur des braises ardentes, jetés au feu vivants! Ils doivent endurer leur torture plus d'une heure avant de mourir car plus l'animal aura souffert avant sa mort croit-on, meilleure sera sa viande et ses propriétés aphrodisiaques, plus efficaces.
Après cela, qu’on vienne dire que les juifs et les musulmans sont des barbares parce qu’ils consomment des animaux d’élevage kasher, par respect d’une pratique religieuse millénaire et pour se nourrir, jamais parce que c’est aphrodisiaque ou par plaisir de voir souffrir des animaux.
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