La femme noire est globalement infidèle. Les Noires le disent elles-mêmes. Elles vous disent dans différents reportages que si leur mari s’absente pour aller travailler en dehors du village, elles ne peuvent rester fidèle que 2 mois… Un proverbe africain dit "Celui qui est impatient d'avoir un enfant épousera une femme enceinte.". C’est dire : On parle souvent de l’infidélité des hommes noirs, mais rarement de celles des Noires alors que de nombreux enfants adultérins naissent de ces unions sexuelles hors mariage dues à l’infidélité des Noires…
Ainsi, selon un sondage réalisé en 2015, environ 63% des femmes noires d’Afrique de l’Ouest ne sont pas fidèles à leur mari : elles battent tous les records de l’infidélité conjugale, même le record des femmes de Singapour réputées pour leur infidélité vis-à-vis de leur conjoint ! (23% des femmes de Singapour sont régulièrement infidèles).
Infidélité et abandons des enfants illégitimes
En général les noires trompent leur mari avec des hommes noirs également ! La pureté n’est pas une valeur essentielle pour la femme d’Afrique de l’Ouest. Remarquez dans certaines contrées d’Afrique de l’Est, non plus, qu’il s’agisse de mœurs ou de nourriture, ce qui importe, c’est de satisfaire rapidement ses besoins. Les gens boivent du sang en Éthiopie, les femmes se marient indifféremment avec des femmes ou des hommes ou les deux (dans la tribu des Kurya une femme peut en épouser une autre, tout en utilisant un homme pour la reproduction !). On notera que les enfants adultérins peuvent être dès lors supprimés. En "Tanzanie, l'infanticide était pratiqué en cas de naissances conçues hors mariage, de naissances anormales, de nouveau-nés malformés, de jumeaux" (Raum, 1967).
Et puis avec toutes ces infidélités et ces enfants illégitimes, il arrive parfois qu'un homme élève l'enfant d'un autre sans le savoir: si l’infidélité est découverte, l’enfant sera considéré comme indésirable.
"Les travaux ethnologiques ont décrit de nombreuses pratiques d’infanticide ou d’abandon. Ainsi, certains enfants sont soupçonnés d’être des revenants : ceux qui naissent pour mourir" (Lolo, 1991). "Dans les sociétés traditionnelles du Sud Cameroun, les nouveau-nés affligés d’une pathologie organique importante étaient voués à la mort, et parmi eux, des enfants autistes" (Lolo, 1991, cité par Ezembé, 2003).
"Au Bénin, les enfants malformés, les nouveau-nés issus d’un accouchement ayant causé la mort de la mère, ou d’un accouchement anormal (présentation dystocique) étaient victimes d’infanticide" (Agossou, 2003 ; Mattern, 2007).' Valérie DELAUNAY.
En Afrique de l’Ouest on croit parfois que l’enfant issu de l’adultère – qui n’est pas considéré comme fautif là-bas sauf par les Africains convertis à la religion musulmane – a plus de chances d’être malformé, ce qui fait une raison de plus de l’éliminer…
Les Arabes, tout comme les Egyptiens de l’Antiquité exècrent l'infanticide: on se souviendra que le roi Toutankhamon, descendant d'Akhenaton, avait une santé fragile.
Cela peut paraître insolent, dans le monde politiquement correct, de dire les choses ainsi et même d’aborder ce type de sujet, devenu tabou : mais il faut bien que les choses soient dites, afin d’éviter que les menteurs prospèrent. En outre, on focalise dans l’actualité sur l’exigence de virginité des jeunes filles musulmanes, mais cette chasteté, préserve de bien des maux alors que l’infidélité des femmes et ses conséquences dramatiques sont tristes pour les populations pauvres.