Quand on observe la France aujourd'hui, il est bon de se souvenir de la France d'autrefois. Le président Macron assume vouloir contraindre une partie de sa population qui rejette son injonction à la "vaccination" tout en pointant sur eux un doigt menaçant, celui qui afflige de honte ces Français réfractaires; une honte relayée avec zèle par des médias aux ordres. Le président Macron prévoit d'accroitre les restrictions de liberté, de façon encore plus drastique, pour tous les Français. En France de nos jours, il y a une impossibilité de débattre, d'échanger ses idées sans que cela ne déclenche de violences.
Le Président Charles De Gaulle n'aurait jamais contraint les Français avec un vaccin. Le Général préférait aux barricades de la reddition et aux contraintes en tous genres, les moments de liesse populaire. En fin de journée, après plus d’une semaine de combats et d’insurrection, Paris se libère du joug allemand le 25 août 1944. Charles de Gaulle, alors chef du mouvement provisoire de la République française arrive à Montparnasse le même jour. Aux premières heures de la libération de la capitale du nazisme, Place de l'Hôtel de Ville, le général De Gaulle lancera cette phrase: "... Paris, Paris outragé ! Paris brisé ! Paris martyrisé ! Mais Paris libéré !..."
Charles de Gaulle, en tant que chef de la France libre, avait rejoint dans l'après-midi, le ministère de la guerre pour y installer le siège de la présidence du Gouvernement Provisoire de la République Française.
Le défilé de la libération de Paris ; la France libre, tout un symbole !
En 1944, Paris, ainsi que toute la France est assiégé par les Allemands nazis ; Le 26 août 1944, le général de Gaulle descend les Champs-Élysées en milieu d’après-midi acclamé par près d’un million de personnes.
Le chef de la France libre se rend à Notre-Dame de Paris. Une fusillade survient sur le parvis. La foule se bouscule. La journée du 26 août se termine avec une offensive aérienne des Allemands. Ils bombardent Paris et les communes limitrophes. Mais c’est la France qui remportera le combat.
Ainsi un grand nombre de Français pourraient rêver à nouveau de cette période de libération, une bouffée d'oxygène après des années d'oppression. De nos jours, la France fait penser à la période sous occupation. La France d'aujourd'hui a beaucoup perdu, et on regrette ses belles valeurs oubliées.
Obligation vaccinale sans tenir compte des effets indésirables
Les dirigeants veulent contraindre tous les Français à se faire vacciner avec un médicament nommé abusivement "vaccin". De l’aveu de Macron, ils sont "prêts à aller jusqu'au bout" (Déclaration dans Le Parisien du 04.01.2022). Selon la société Pfizer, il ne s'agit pas d'un vaccin mais d'une "thérapie génique". C'est d'ailleurs ce terme qui figure dans ses communications et ses contrats commerciaux. Un médicament proposé aux Français pour protéger d'un rhume à coronavirus, transmis à l'homme par un pangolin, lui-même infecté par la morsure d'une chauve-souris. C'est la version actuelle même si les investigations sont censées se poursuivre.
Mais jamais les effets secondaires des "vaccins" pour lutter contre le Covid-19 en France ne sont évoqués. Pourtant, l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) les liste officiellement depuis plusieurs mois, notamment tout "effet indésirable létal (entrainant la mort), ou susceptible de mettre la vie en danger, ou entraînant une invalidité ou une incapacité importante ou durable, ou provoquant ou prolongeant une hospitalisation, ou se manifestant par une anomalie ou une malformation congénitale.". Source: Site web de l'ANSM
Macron est censé être au service de la Nation et non au service des laboratoires Pfizer, ou autres.
Par ailleurs, la campagne de vaccination est un échec complet puisque le virus n’est toujours pas éradiqué: autrement dit, le "vaccin" ne protège pas. Il est inutile dans le meilleur des cas et néfaste dans le pire des cas. Seuls les VRP de cette thérapie génique affirment que leur "vaccin" est la seule et unique solution à la pandémie. A présent, ils ajoutent que c'est sous réserve d'avoir reçu de multiples doses. Qui peut vérifier une telle information? Les chercheurs, les scientifiques, les épidémiologistes et les médecins ne sont pas tous d'accord sur l’efficacité et l’utilité d’un vaccin comme celui de Pfizer, surtout lorsqu'il est injecté aux populations en pleine pandémie. Avant la "pandémie de Covid-19", il existait une règle d'Or dans le milieu médical: "En temps de pandémie, on ne vaccine pas!". Tout vaccin est susceptible d'augmenter les probabilités que le virus génère de nouvelles variantes. Donc imposer un vaccin actuellement, par la force ou par des lois est forcément malveillant. Espérons voir prochainement la France à nouveau libérée et ses valeurs restaurées.
Vidéo Extrait du retour de De Gaulle dans Paris libéré (INA / France3)
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